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Guillaume Martet, responsable du tout nouveau C.E.L.

Guillaume, le Centre d’Entraînement Labellisé a t’il l’agrément de la FFR ?

« La Fédération va effectuer des visites une fois le projet lancé en septembre et délivrera alors, nous travaillons dur pour cela, l’agrément à la suite de ces contrôles. Cela se fait donc sur du factuel.  

Comment va s’effectuer le recrutement des jeunes qui seront intégrés à ce C.E.L. ?

« Pour la première promotion, nous allons fonctionner avec nos licenciés, mais le centre sera ouvert aux jeunes des clubs voisins par la suite. Le projet évoluera très vite et sera rapidement territorialisé. Nous serons les seconds en Gironde, le premier fonctionnant actuellement à Mérignac ».

Vous aurez combien de stagiaires dès ce mois de septembre ?

« Ils seront vingt-cinq au total, filles et garçons, sachant que nous pouvons monter le cas échéant jusqu’à quarante stagiaires. Je vais être le coordonnateur en fait, mais il y a nombre d’intervenants pour la préparation physique, la musculation, la technique et la partie soutien scolaire ».

Les structures en place permettent forcément de faire tourner le centre ?

« Absolument, même s’il va nous falloir affiner encore et nous y travaillons actuellement. Il y a le sportif bien sûr, mais pas que, car c’est un double projet. La partie scolaire et (ou) professionnelle est tout aussi importante. Il y a un accompagnement méthodique sur chacun des volets de la formation. Nos jeunes pourront être là le soir pour du soutien scolaire uniquement, par exemple ».

Ces jeunes seront sous contrat ?

« C’est une charte en réalité et surtout un contrat moral. Nous les aurons au maximum quatorze heures semaine avec entraînements collectifs et matchs compris. Ils seront donc au centre en moyenne de huit à dix heures par semaine, sauf le jeudi. C’est une formation qui vient en complément pour faire simple et sur le plan sportif, nous sommes là pour compléter et affiner les bagages physiques et techniques, par atelier et par poste principalement. En réalité, c’est un peu à la carte suivant les disponibilités de chacun et leurs contraintes horaires ».

On se retrouve en septembre alors ?

« Oui, sachant que nous allons avoir des journées de détection en juin et qu’il faut également attendre les affectations scolaires ou universitaires. Et puis d’ici là il y a du travail. Nous sommes impatients en tous cas et déterminés à faire vivre un beau projet ».

Merci Guillaume