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Rémy Inda est investi au sein du groupuscule PCC…

Formé à Linxe et passé par Dax, Morlaas, Saint-Jean de Luz et Anglet, Rémy Inda est arrivé à Langon en 2012, il a 29 ans. Il va porter les couleurs Stadistes à quarante reprises durant trois saisons avant de raccrocher les crampons : « Je me suis marié dans la foulée avant d’avoir deux enfants (4 ans et sept mois). Je travaillais dans la gestion de patrimoine et j’avais très envie de créer mon cabinet. C’est chose faite depuis deux ans, avec un associé issu du monde du rugby. C’est vraiment le travail qui a guidé mes choix sportifs et je ne regrette rien ». La petite famille vit aujourd’hui à Mérignac et s’il arrive à Rémy de tripoter la beuchigue avec ses copains de l’association ‘des Vendanges’, dont d’anciens Langonnais comme Lilian Balangué, Baptiste Martinet ou François Sebire, il est plus assidu au…foot en salle : « Mais c’est surtout le golf qui aujourd’hui m’accapare le plus avec, là aussi, une association au sein de laquelle Mathieu Moges, François Sebire et moi sommes investis. La PCC (Pâté – Chichon Cup) en l’occurrence et en rapport avec la Ryder Cup, mais version Sud-Ouest. Cela dit, au golf, il n’y a ni combat, ni ambiance de vestiaire, mais on peut s’évader sans se prendre la tête ». Et sans se prendre au sérieux, cela va sans dire.

Si notre ancien ½ de mêlée n’a jamais été un gros client du rugby à la télé, il n’en demeure pas moins un supporter de l’UBB et du groupe France : « Mais pour moi aujourd’hui, le rugby c’est avant tout du loisir. J’ai quand même fait une escapade en Nouvelle-Zélande avec mon épouse et nous avons très envie d’y revenir avec les enfants. Sans parler de rugby, c’est un pays fabuleux. Maintenant, si venir à Comberlin est moins glamour (rires), les quelques apparitions que je peux y faire sont toujours empreintes de plaisir ». Et en guise de souvenir sous les couleurs Rouge et Blanche, Rémy n’hésite pas une seconde : « Le retour en bus après notre élimination à Aubenas en 1/8e de finale en 2015. Nous avions gagné à l’aller 18-16 après-avoir réalisé une sacrée performance et nous avons été battus au retour 19-3. Mais au-delà du résultat, c’est la route du retour qui a été…comment dire…épique, non cocasse, mais je n’en dirais pas plus ». Il existe les secrets du vestiaire en rugby et donc, ceux du bus…on respecte.