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Que vous soyez joueur, entraîneur ou retraité du monde sportif, si vous avez entre 15 et 55 ans, pourquoi ne pas devenir arbitre ?

La Direction Nationale de l’Arbitrage poursuit sa campagne de recrutement, car c’est bien dans les débutants d’aujourd’hui que se trouvent ceux qui succéderont dans quelques années à Jérôme Garces, Doriane Domenjo et tant d’autres.

Il faut plusieurs années pour atteindre le très haut niveau et cette ascension se prépare, tout comme se prépare le fait de ne pas y accéder. Arbitrer, c’est aussi du plaisir et une occasion pour celles et ceux qui s’y engagent de progresser, de se construire et d’évoluer.

Nombreux sont les arbitres au bout de quelques années à reconnaître que cette pratique leur a permis de développer compétences, investissement dans l’effort, prise de responsabilités ou (et) de décisions leur servant ensuite dans leur parcours professionnel ou personnel.

Le plus dur est peut-être d’oser se lancer. Le parcours de formation et d’accompagnement est très structuré et encadré dans les Ligues, et une attention particulière est apportée à celles et ceux qui débutent. Il suffit, finalement, d’être licencié et d’avoir cette envie que tous ceux qui officient déjà ont eu un jour, et de se dire qu’avec un sifflet ou un drapeau, on peut être très utile pour le jeu et les joueurs.

Et s’il y a un âge limite pour arbitrer, 55 ans, et que l’on peut commencer très tôt (à 15 ans), il n’y a pas d’âge ni de genre pour cliquer sur jeveuxarbitrer@ffr.fr