Au soir de la 1e journée de championnat, le corps médical va lui détecter deux hernies discales. L’arrêt est dès lors brutal : « Comme j’ai la chance qu’elles se soignent plutôt bien, il n’en reste qu’une en réalité aujourd’hui et je fais en sorte de travailler au mieux afin que je puisse retrouver les terrains début janvier ». Il est également entre les mains des préparateurs physiques du club trois à quatre fois par semaine pour des renforcements musculaires appropriés, ces derniers pouvant lui permettre à terme de ne plus être sujet à ces fâcheuses hernies : « Les points de passage sont bons, mais il ne faut pas brûler les étapes. Aujourd’hui, je n’ai plus aucune douleur, mais il ne faut pas penser pour autant que tout est ok. Je prends donc mon mal en patience, car c’est là qu’il faut faire le plus attention en réalité ». Et professionnellement mon bon Thomas : « Alors je n’ai pas coupé professionnellement, même s’il aurait peut-être fallu. C’est un choix en fait. Maintenant, mon employeur a été compréhensif et mon job aménagé ». Et vous qui le connaissez, vous avez le loisir de le voir rôder à Comberlin, voire même de le voir y tourner en rond : « Je piaffe d’impatience, moi qui ne suis pas forcément patient. Je vois les matchs à domicile et je suis le live lorsque l’équipe est en déplacement. Mais bon voilà, je n’ai qu’une hâte, c’est de retrouver le terrain et que la scoumoune me lâche un peu ».