Le jury, plutôt fourni en ce dimanche de pur bonheur, au final, n’a pas longtemps hésité pour désigner le joueur de ‘le’ match. Et cela ne surprendra personne au final tellement la prestation de Thomas Mendy le mérite. Il a montré l’exemple pour sonner le réveil stadiste lors du deuxième acte en étant au four et au moulin, récupérant au passage le brassard (même fictif) de capitaine (66’). Toujours présent lors des rendez-vous importants, mais pas seulement, performant en touche ou en défense, le leader naturel qu’il est a donc largement contribué au réveil des siens et à la victoire finale. Chapeau l’artiste…